Déménagement du blog
Chers lecteurs, le blog déménage sur le site du Monde:
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critiques littéraires et billets d'humeur << La littérature est une arme >>
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Le Littérroriste
à
12:46 AM
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Chronique des années Almodovar, Amour, Prozac et autres curiosités met en scène trois sœurs névrosées dans une Espagne en pleine libération des moeurs, confrontée à l'irruption soudaine de la modernité. Sexe, drogue, déprime, schémas familiaux.... Cristina, Rosa et Ana dessinent le portrait d'une époque, portrait en forme de puzzle pessimiste, joyeusement destroy. Manque peut-être de la matière, de l'épaisseur à des personnages qui défilent comme des ombres, anamorphoses d'une même réalité.
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Le Littérroriste
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9:49 PM
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Le Littérroriste
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1:04 PM
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On attendait le touche à tout DJ Spooky AKA Paul D.Miller dans un registre électro voire musique concrète. On avait rêvé des samples de vents, de craquements, de vagues...
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Le Littérroriste
à
7:45 PM
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La guerre dont il est ici question n'est que métaphorique. Les soeurs de la famille Jordan vivent des existences douloureuses, entre mari pédophile sur le point de sortir de prison, boyfriend obsédé, fantômes du passé, envies de refaire sa vie... Culture juive, imperfections humaines. Le tout baigne dans une atmosphère onirique que les apparitions de Paul Reuben (Pee-Wee) ne fait que renforcer. Un film fort, tendu, dynamisé (dynamité?) par un humour sans limites, telle cette scène où la mère de retour d'une first date avec son nouveau prétendant (vieux et gros), dévoile à son fils qu'elle est mouillée. Acteurs formidables, incarnant réellement leurs personnages, avec à la clé l'apparition furtive d'une Charlotte Rampling très en forme.
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Le Littérroriste
à
11:17 PM
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1952. Jean-Paul Clébert a tout juste 26 ans mais connaît déjà Paris comme sa poche, ou plutôt, il connaît de Paris toutes ses poches, ses interstices, ses failles, ses combines d'un soir, ses amours furtives, ses refuges enfumés.
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Le Littérroriste
à
2:48 PM
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On pouvait s'attendre à tout concernant ce film: on fantasmait Polanski réglant de loin ses affaires avec les Etats-Unis, Ewan Mc Gregor soudainement devenu plus profond et l'intrigue moins classique que celles des derniers opus du réalisateur franco-polonais.
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Le Littérroriste
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8:58 PM
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