Deux jours à tuer

Dupontel est très bon dans ce nouveau film de Jean Becker, comme le sont les autres acteurs.
Le film commence par ce qui ressemble à une crise de la quarantaine, d'un homme qui a réussi et fout tout en l'air. Mais ce sabordage en règle (belle scène du dîner) cache autre chose. Malheureusement, ce retournement est unique, et ce vers quoi le personnage se dirige n'est pas développé (qu'advient-il de sa relation avec son père).
Deux jours à tuer est trop court, et s'arrête là où pourrait s'installer un climat, une suspension.
Un film à moitié plein...ou à moitié vide !
Le littérroriste