Séraphine, un film de Martin Provost

Qu'en reste-t-il ? On aimerait dire : le rapport sensuel, voire charnel à la peinture. Mettre la main à la pâte... Mais même cet aspect est insuffisamment mis en avant, trop furtivement.
Bref, Séraphine est un film plaisant, mais qui ne va pas au bout des choses, le film d'un pays tout occupé à se regarder dans le miroir de son passé et à convoquer le monde entier à admirer ce reflet.
Le Littérroriste