29 avril 2006

Cosmos Incorporated


Aux premières pages du dernier Maurice G. Dantec, dont l'embrouillé Villa Vortex nous avait laissé sur notre faim, il semble que l'auteur ait un peu mis de côté son crédo religieux. Le style est clair, épuré, efficace. L'intrigue nous prend, le rythme est là.
Malheureusement, cette sobriété se retrouve confrontée vers le milieu du roman aux délires christiques de Dantec. Une fois de plus, l'oeuvre se révèle un manifeste chrétien sans ambages, ce qui n'aurait rien de condamnable si la narration n'en souffrait.

BI

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